Quand on abandonne un pays

Le souhait de démocratie au Soudan est suspendu à une ligne. Le 3 juin, les généraux qui faisaient du jogging sur ce qui devait être une surveillance intérimaire ont lancé des pressions paramilitaires décontractées à Khartoum, éliminant pas moins de 60 personnes. La répression dans d’autres régions du pays a eu un impact négatif. Les généraux ont déclaré que ces personnes étaient en train de démolir des contrats pour obtenir une transition vers la démocratie qui ont été négociés avec les manifestants qui ont présenté le dictateur descendant Omar al-Bashir en avril. Au lieu de cela, les autorités militaires de transition ont annoncé leur intention de maintenir les élections dans les neuf mois. L’attaque difficile implique que l’on ne peut pas faire confiance aux généraux pour gérer ce processus. Le globe a déjà vu ce film. Les massacres à Khartoum n’ont peut-être pas coordonné le niveau du massacre de manifestants au Caire en 2013, qui a probablement fait état de plus de 1 000 modes de vie, bien que les parallèles soient également très clairs: une autre élite des forces armées applique une force meurtrière pour tenter la place politique reçue par le biais d’une activité de maître-démocratie. You.S. Le consultant national en matière de sécurité, John Bolton, a eu raison de condamner les meurtres comme étant « odieux ». L’extrême-Orient et la Russie ont empêché toute tentative de dénonciation devant les autorités de sécurité locales ou le conseil des Nations Unies, mais les États-Unis et l’Union européenne peuvent toujours rivaliser s’efforce de ramener la transition du Soudan à la démocratie. Le You.S. et l’UE devrait commencer par contester le relâchement des généraux, et ils devraient exiger que ces coups de feu soient ramenés à des droits appropriés. Ils doivent s’opposer à la volonté des généraux de forcer par le biais d’élections, qui sont probablement censées gagner du temps pour consolider leur potentiel et relâcher le mouvement de la démocratie professionnelle. Au lieu de cela, ils doivent faire appel à un expert transitoire à gestion civile. Les manifestations qui s’étaient abattues sur le bas Bashir ont permis de réunir un grand nombre de personnes, allant des politiciens aux avocats, en passant par les militants et les étudiants; Le Soudan ne manque pas de civils capables de gérer ce type de transition. Le You.S. et les pays européens doivent pouvoir les soutenir et, progressivement, aider à coordonner les élections observées au niveau international. L’autorité du conseil des services militaires doit être partagée avec le fait que si on le laisse faire, cela peut conduire à des sanctions pour des violations des privilèges de l’homme et à d’autres infractions, notamment des honoraires et des sanctions en vertu de la World-wide Magnitsky Respond. Au cas où les troupes profiteraient paisiblement de leurs casernes, il faudrait leur fournir une clémence dans presque toutes les élections au compte rendu tenant compte de leur conduite dans le respect du principe de Bashir et de ses conséquences particulières.