Aéronautique: la sûreté des petits avions de tourisme en question

Vous et l’avion volez en toute sécurité? La question peut sembler impertinente, mais il faut demander une représentation de qui vole. Un premier expérimenté, voyageant pour une compagnie aérienne standard de l’aviation d’affaires (qui vend des sièges), travaille constamment sur les capacités et les connaissances à l’intérieur d’un avion. Cours de recyclage, formation aux simulateurs, bilans d’expertise… cela fait partie du programme de votre aéronaute par profession, plutôt que juste pour survivre, et aussi, à la préservation du travail, de la carrière ainsi que de la dignité qualifiée sur sa propre. Mais quand les pilotes d’avion exercent un autre travail et voyagent leur propre avion pour le plaisir ou pour le besoin? Pourraient-ils régulièrement se recycler, suivre une formation sur simulateur, subir des examens? Les examens obligatoires n’analyseront pas chacune des opportunités, chacune des informations essentielles pour éviter au plaisir de voler de procéder avec des charges dangereuses. Il ne sera pas fondé de mentionner que tout premier voyage par avion avec son propre avion est mis en danger. Il ne s’agit vraiment pas de ça. Pourtant, il est possible de prétendre que, dans la plupart des cas, l’éducation est insuffisante dans l’aviation standard, qui comprend de petites cabines à circulation d’air, une aviation d’entreprise de petite taille, une aviation personnelle, agricole et de loisirs. Le respect des réglementations et des normes doit également être beaucoup mieux compris et utilisé, sous l’inconfort de regretter chaque accident de manière récurrente: toujours exactement les mêmes plaintes, souvent les mêmes hypothèses ou verdict, souvent le même oubli. Les statistiques de l’aviation révèlent généralement que la composante humaine est présente dans presque la plupart des accidents. L’organisation des vols des compagnies aériennes, l’analyse du pilotage, l’indiscipline du transport aérien, le programme de commandement, la rencontre initiale inadéquate, les conditions météorologiques variables négatives, la supervision de la gestion et la méthode de prise de décision sont des facteurs dans la plupart des incidents. Et tous nous ont conduits pour l’aspect homme, ce qui signifie la performance de l’individu aux commandes de l’avion. Nous pourrions augmenter l’examen de chaque 1, mais ce sera inutile. En étudiant le concept, nous pourrions souligner qu’ils peignent tous exactement la même photo. Généralement manque de préparation au voyage aérien Modèles simples, ignorance des limites des avions, mauvaise ou non préparation météorologique, absence ou mauvais processus de vérification de l’avion avant le vol, absence ou conception de vol précaire, négligence des règles de sécurité d’exploitation standard, aviation très médiocre culture, ignorance des directives de circulation atmosphérique. Tout cela peut également sembler ardu, mais il est tout à fait évident que nous devrions augmenter nos coûts de sécurité. Il ne faut pas mettre toutes choses dans le même panier et généraliser. Ce sera également simpliste. Néanmoins, plus cela peut sembler inamical, pilotage avion nous sommes incapables de considérer les couleurs de l’image avec des yeux tolérants. Les accidents surviennent à un moment donné, mais il est de la responsabilité de toute personne impliquée dans l’aviation de terminer dans la mesure du possible pour éviter la séquence d’occasions qui mène au résultat. Nous, pilotes, sommes la barrière d’arrivée de la combinaison d’événements qui établissent ou jouent un rôle dans un accident. Le nombre de voyages aériens gérés au sol (CFIT) aurait pu être évité si les aviateurs concernés possédaient se conformaient aux règles de transport aérien? Il est parfois compliqué de particulariser, mais tout le monde est conscient de la réalité. Plusieurs de ces incidents ont eu une excellente répercussion principalement parce qu’ils engageaient des personnalités ou des situations bien connues. D’autres personnes moins que significativement, mais celles-ci ont pris une vie précieuse. Aussi bien qu’eux auraient pu être évités. Comment peut-on rationaliser un premier abandon des règlements de voyage IFR et chercher à se préserver des problèmes visibles d’obtention, même dans des conditions climatiques indésirables? Et la façon de justifier un vol initial moins que les politiques VFR continuant d’avance face à une visibilité réduite? À de nombreuses occasions, une contrainte professionnelle permet au pilote de tenter un peu plus sa chance. Très bien, cela se produit. Et si vous n’avez pas de stress industriel? La meilleure façon de rationaliser une première mise en place de la cellule familiale dans son avion pour toute visite de fin de semaine ou d’escapade de 7 jours et d’accepter quotidiennement les menaces de travail de conditions météorologiques défavorables? Cependant, souvent, cette initiale n’envisage pas qu’il courait des dangers. L’erreur d’appréciation du scénario et donc de son danger incorporé conduit généralement l’avion dans un état défavorable, ce qui pourrait libérer la série mortelle.