Venezuela: un colloque de croissance

Le Venezuela était l’un des 3 pays qui sont apparus lors de l’effondrement de la Grande Colombie en 1830 (d’autres ont obtenu l’Équateur et la Nouvelle-Grenade, qui est devenue la Colombie). Pendant une grande partie de la première moitié du XXe siècle, le Venezuela a été gouverné par des hommes forts militaires bienveillants qui ont fait connaître le marché du gaz et permis quelques réformes sociables. Les autorités gouvernementales démocratiquement élues ont organisé le balancement depuis 1959. Sous Hugo CHAVEZ, leader de 1999 à 2013, et son impressionnant successeur, le président Nicolas MADURO, la division exécutive a mis en place un contrôle de plus en plus autoritaire des autres membres du gouvernement. En 2016, le président MADURO a accordé un décret pour organiser une élection politique afin de constituer un «assemblage constitutif». Une enquête du 30 juillet 2017 a autorisé la formation de votre Assemblée constituante de 545 membres et a décidé ses délégués, autorisant ces personnes à modifier la constitution et à ignorer les entreprises et les fonctionnaires du gouvernement. Les autorités américaines ne reconnaissent pas la construction, qui comprend normalement appliqué ses capacités de basculer par décret comme une alternative à la réforme de la constitution. Dans le même temps, les établissements démocratiques continuent de s’affaiblir, les libertés d’expression ainsi que le déclic sont restreints et la polarisation politique s’est élargie. Les directives économiques du parti au pouvoir ont élargi le rôle de l’État dans l’économie globale par le biais d’expropriations d’entreprises clés, d’un échange de devises et d’un contrôle des coûts rigoureux qui dissuadent l’achat et la création de marchés privés, et d’une surdépendance du marché pétrolier pour les bénéfices, entre autres. Les préoccupations récentes concernent les violations des droits de l’homme, les délits d’agression généralisés, l’augmentation du coût de la vie et les pénuries courantes de biens de consommation de base, de médicaments et de fournitures liées à la santé. Au-dessous du leader Nicolas MADURO, la réponse du gouvernement vénézuélien à la crise financière est d’accroître le contrôle de l’État sur le climat économique et de blâmer le marché non public pour les pénuries. MADURO a donné le pouvoir de créer et de diffuser des produits standards vers les services militaires ainsi que les comités de rassemblement socialistes communautaires. Le gouvernement vénézuélien a contrôlé les contrôles rigoureux des devises depuis 2003. Les entités gouvernementales n’ont pas été en mesure de préserver ses systèmes de distribution de dollars pour le domaine personnel, en partie parce qu’il a dû suspendre certaines fournitures de devises pour produire ses remboursements d’obligations à l’étranger. En raison de la valeur et de l’argent réglementés, les entreprises à proximité ont eu du mal à acheter des intrants de production essentiels pour maintenir leurs fonctions ou à promouvoir des produits à profit sur le marché local. Les polices d’assurance financière expansionnistes et les gestionnaires de devises étrangères ont créé des options d’arbitrage et de corruption et alimenté une augmentation rapide de l’exercice de l’industrie de couleur noire.